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Caramel Consulting

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Accueil | Archives pour Lina

Lina

Mar 08 2020

C’est le 8 mars, Caramel a un 1 an !

[Anniversaire !] Il y a un an pile je lançais l’activité officielle de Caramel Consulting. J’avais choisi volontairement cette date symbolique, consciente des difficultés supplémentaires que cela représente pour une femme de se lancer dans l’aventure entrepreneuriale. Le biais du genre est une réalité. De la mobilisation et de la détermination sont nécessaires pour faire progresser les changements de mentalité.

Un an après, Caramel Consulting compte des clients dans 3 pays différents, de beaux projets d’accompagnement à la transformation. Notamment un dont l’objectif est de soutenir et renforcer le pouvoir économique des femmes et l’égalité au travail.

Un énorme merci à vous tous qui me soutenez en suivant cette page et en suivant mon actualité ! Je suis ravie de poursuivre l’aventure et la mission de Caramel Consulting qui, grâce aux innovations en formation digitale et collaborative, accompagne les organisations dans leurs changements positifs et durables, et faire en sorte que se transformer soit un plaisir !

Transformons-nous aujourd’hui et bâtissons ensemble un environnement et des relations de travail au sein duquel l’inclusion, la diversité et l’égalité deviennent la norme !

Bon dimanche et joyeux 8 Mars à toutes et à tous !

Lina

Written by Lina · Categorized: Non classé

Sep 26 2019

Is it time for Sustainibility in Business?

Dans le cadre de mes récentes études en MBA en Leadership Positif et Durable, lors de notre cours « Créer de la valeur durable » notre professeur nous a dit: « les entreprises souhaitent changer et adopter une approche plus responsable, mais ne savent pas comment faire ». J’avais alors décidé de rédiger un article sur le sujet.

Celui-ci est en anglais, si vous avez des questions, n’hésitez pas à me contacter !

Lina

https://www.linkedin.com/feed/update/urn:li:article:7373419321050647919/

Written by Lina · Categorized: Non classé

Sep 26 2019

Ne te fais pas mal ! 8 réflexions autour de l’erreur

L’erreur, le retour sur l’erreur, l’acceptation de l’erreur…. Beaucoup d’articles et de témoignages abordent ce sujet et valorisent l’erreur dans le cadre de l’apprentissage. La semaine dernière sur mon fil d’actualités, je tombe sur une vidéo dans laquelle est racontée une expérience de vie qui, à mon avis, en était une jolie illustration.

Dans cette vidéo, l’auteur raconte son expérience de surf du matin. Il explique que cela fait des années qu’il essayait d’en faire, qu’il lui était arrivé pas mal de soucis et qu’il s’était fait mal, jusqu’à avoir une côte cassée !

Or, ce matin-là, il avait enfin réussi à en profiter. Il en était très fier et disait que sa séance s’était superbement bien passée. Tellement bien qu’il avait réussi à prendre des vagues qu’il n’arrivait pas à surfer auparavant. Il n’était pas tombé une seule fois. Il s’arrête pour préciser que pour lui il s’agissait d’un signe et qu’il n’était justement pas allé assez loin….

Cette réflexion m’a interpellé. Pourquoi regretter de ne pas être tombé ? C’est plutôt un signe de succès et de réussite ? La récompense après un effort d’apprentissage ?

Ma curiosité de pédagogue a pris le relais et j’ai décidé de creuser davantage le sujet de l’erreur et son traitement dans le cadre de l’apprentissage.

L’erreur est un signe et le retour sur l’erreur fait partie des 4 piliers de l’apprentissage selon Stanislas Dehaene. Je me replonge alors dans son livre « Apprendre : les nouveaux défis de l’homme face à la machine ». « Aucun apprentissage n’est possible en l’absence d’un signal d’erreur : les organismes n’apprennent que lorsque les événements violent leurs attentes ». Il précise plus loin que ce signal peut être interne ou externe.

Il rappelle la proposition des deux chercheurs Rober Rescorla et Allain Wagner : le cerveau n’apprend que s’il perçoit un décalage entre ce qu’il dit prédit et ce qu’il perçoit. Un peu comme moi lorsque j’ai vu la vidéo ? j’ai été surprise par le commentaire sur l’absence de chute. Cela m’a intrigué et a suscité ma motivation à creuser.

Revenons à notre sujet initial, l’erreur … si je tombe en faisant du surf et que je m’arrête là, parce que découragée éventuellement. Je n’aurais rien « appris » à part le fait de faire le lien entre le surf et la douleur de la chute.

Que faire alors ? Comment envisager cette notion d’erreur dans l’apprentissage afin d’en faire un réel levier ?

Avant

  1. Définir mon objectif et comment l’atteindre : que vais-je entreprendre ? comment ? quelle est la technique et les gestes, la méthode ou procédure ?
  2. Être à l’écoute et capable d’identifier et détecter l’erreur : Ai-je mis en place les mesures qui vont permettre d’identifier que mon geste est bien réalisé ? Un collègue, ou un formateur pourra-t-il m’observer et me donner un retour ? Si cela n’est pas possible, que puis-je mettre en place pour m’auto-évaluer ?
  3. Accepter de ne pas faire bien du premier cou. Cela nécessite de lâcher prise. Il faut oser, oser prendre la parole dans cette nouvelle, oser monter sur le surf, oser utiliser les nouvelles fonctionnalités du logiciel…
  4. Ne pas se mettre en difficulté extrême malgré tout : Quel est l’impact si l’action réalisée n’atteint pas son résultat ou si les conséquences peuvent être trop graves ? Dans la vidéo, l’auteur nous disait qu’il avait quand même eu une côte cassée.

Après

  • Prendre le temps d’analyser l’erreur par soi-même : quelle est son origine ? Qu’est-ce qui l’a provoquée ? Quels éléments, actions ou mesures dois-je mettre en place pour l’éviter ?
  • Prendre le temps d’analyser l’erreur en demandant du retour : dans la vidéo, l’auteur, dit qu’une personne l’avait observé et lui avait donné des conseils sur sa posture. Seul, il n’aurait pas pris conscience de sa posture qu’il fallait rectifier. Sans l’autre et le regard extérieur, il est difficile de s’auto-évaluer de manière objective.
  • Être capable d’écouter : de prendre en compte et d’accepter le retour sur l’erreur de l’autre : nous sommes sous l’influence d’une grande quantité de biais qui nous empêchent de voir la réalité. L’effet « Duning Kruger » en est un principal, il est possible de surestimer ses capacités.
  • Je réessaye encore et encore !

Et vous qu’en pensez-vous ? Que vous vient-il à l’esprit lorsqu’il s’agit d’erreur ? Qu’avez-vous appris ?

Belle semaine à tous !
Lina.

Written by Lina · Categorized: Non classé

Fév 03 2019

Choisir son LMS en 2019 : 6 aspects à envisager

Choisir son LMS… Casse-tête, challenge ou énigme ?

En ce début d’année, plusieurs personnes d’entreprises différentes m’ont fait part d’interrogations sur le choix de la plateforme digitale. Au même moment se déroulait le salon des « Learning Technologies » à Paris. Le lieu idéal pour découvrir les tendances en la matière.

Depuis que je visite ce salon, c’est-à-dire depuis sa création dans les années 2000, jamais je n’avais vu autant de nouveaux acteurs, de nouvelles solutions et de propositions différentes. Des plateformes ont vu le jour, d’autres ont bien évoluées et des jolies fonctionnalités sont nées. Dur dur de s’y retrouver … Plutôt que d’envoyer des conseils par mail à mes interlocuteurs, je décide alors d’écrire ce poste pour poser mes réflexions et les partager.

Qu’il s’agisse de votre première acquisition ou que vous souhaitez renouveler, la question du choix de la plateforme digitale est en effet un des plus grands casse-têtes pour les entreprises.

Qu’il s’agisse d’un renouvellement ou un premier achat : C’est le bon moment, surtout en France. La loi sur la formation évolue. Cela ouvre de nouvelles opportunités mais aussi des besoins en terme de diffusion et d’organisation de ses contenus formations . Cette loi permet de mettre en valeur ce qu’elle appelle l’AFEST (Action de Formation en Situation de Travail). D’un point de vue pédagogique, il s’agit d’une excellente opportunité, car enfin seront reconnus comme actions de formation des leviers très efficaces et concrets comme l’apprentissage expérientiel, le développement, le mentoring etc…. Cela génère donc des nouveaux besoins pour les entreprises en termes de création de solutions pédagogiques, de distribution, de suivi et de reporting.

Par ailleurs, le paysage des offres des plateformes a aussi évolué. Forte des avancées en UX design, des investissements importants dans les start-ups, et surtout de la prise en comptes des nouvelles façons d’apprendre et de se former, les nouvelles plateformes incluent des fonctionnalités qui permettent une grande variété de modalités d’apprentissage. Elles sont aussi plus simples à utiliser.

Dans ce paysage changeant, nous sommes confrontés à un réel embarras du choix… Alors comment faire ? Par où commencer ?

1. Partir de ses besoins, de son contexte et connaître ses contraintes

Avant de se lancer, réfléchissez à vos besoins actuels, vos contraintes et aspirations : la finalité et la stratégie avant tout. Ce serait dommage de passer à côté d’un élément car celui-ci n’a pas été identifié en amont. Comment répondre à la vision définie par votre entreprise ? Quels sont les spécificités de vos métiers et leurs exigences ? Quels sont les indicateurs de performance dont vous avez besoin ? et comment ceux-ci serviront-ils à mesurer l’efficacité des actions pour les améliorer en continue ?

Quel est votre contexte et quelles sont vos contraintes ? Comment vos employés sont-ils répartis ? Quels accès ont-ils à internet ? Ces questions ne sont bien sûr pas exhaustives.

Avez-vous besoin réellement de tous les « gadgets » proposés ? Nous avons tous été séduit un jour par des outils qui présentent des nouveautés exceptionnelles et attractives que nous n’avons finalement jamais utilisées…

Une fois ce travail réalisé, n’hésitez pas à consulter les études comparatives. Plusieurs citent les plateformes les plus performantes, inspirez-vous et pensez à vos besoins avant tout. Pour votre contexte avez-vous besoin de la Rolls Royce des plateformes ? ou l’inverse, pour des raisons de réduction en amont, ne passez à côté de fonctionnalités qui pourront vos faire gagner en temps et énergie.

2. Inclure toutes les parties prenantes en favorisant l’intelligence collective

Pour réussir la phase d’analyse de besoins, et mettre à plat les aspects essentiels, n’oubliez pas d’inclure l’ensemble des parties prenantes. Pour cela, les ateliers d’intelligence collective sont d’excellentes modalités. Ceux-ci peuvent par exemple être adaptés des méthodes de Design Thinking. Cette méthode vous permettra d’imaginer vos futures expériences apprenantes. Aussi, ces moments d’échanges collectifs sont précieux et permettent d’identifier des leviers qui ne peuvent pas être pensés seuls, de manière centralisée au « siège ».

Ces moments d’échanges doivent être cependant réfléchis et organisés en amont. J’ai le souvenir d’un grand groupe international qui a mis plus d’un an pour définir collectivement, avec toutes les entités du monde, le cahier des charges de sa plate-forme. Un an, voir plus, de réunions à distance régulières, ont été nécessaires pour aborder tous les aspects. Celles-ci étaient animées en mode brainstorming « classique ». Bien que la finalité fût de rassembler le plus d’avis possibles, le résultat était une approche finalement assez descendante et pas très optimisée. Aujourd’hui, les méthodes d’animation et les outils de réunions virtuelles à distance permettent de rendre cela bien plus efficace. Les techniques pour favoriser les échanges et l’intelligence collective sont davantage décrites et permettent d’aller à l’essentiel, tout en créant des moments de partages et de cohésion d’équipe unique.

3. Big Data, IA, Chatbot et adaptative learning : La pédagogie avant tout !

Les plateformes permettent de récolter une multitude de données sur les usages, les comportements, les besoins de vos apprenants et leurs difficultés. Ces données, bien exploitées, favorisent les possibilités de personnalisation. L’expérience d’apprentissage en elle-même peut être réellement améliorée et optimisée pour gagner à la fois en temps et en efficacité.

La vraie question à se poser dans ce cas est : quelle est la démarche pédagogique sous-jacente ? Qui sont les décideurs et rédacteurs des algorithmes qui régissent les fonctionnements de la solution, de l’adaptative Learning ou du chat bot qui répond et guide les apprenants ?

Aussi quelle est la réelle valeur ajoutée pour l’apprentissage ? le chat bot le plus simple et le plus drôle à utiliser n’est pas forcément le plus « intelligent ». Ce sont les vraies questions qu’il est essentiel d’aborder lorsqu’on choisit aujourd’hui ces nouveaux outils.

4. Big Data, IA, Chatbot et adaptative learning : la sécurité de vos données

Ces mêmes données peuvent être exploitées en utilisant les bons algorithmes qui vont bien à des fins pédagogiques exceptionnelles…. ou pas.

Qu’en est-il de la sécurité des serveurs ? Quels sont les usages réalisés des données collectées ? Celles-ci, n’oublions pas concernent votre industrie, vos méthodes de travail et la manière dont vos employés sont formés. Selon le baromètre des risques entreprises 2019 du Groupe Allianz, ceux liés aux nouvelles technologies sont positionnées en 7ème position.

Ces derniers mois, mêmes les plus grandes entreprises, les GAFA, ont connues des fuites importantes, mettant à nus des donnés privées dans les mains de hackeurs dont nous ne connaissons ni les origines, ni les intentions…

Cela prendra peut-être plus de temps d’inclure votre DSI dans la boucle. Ne sous-estimez cependant pas leur soutien. Aujourd’hui de grande quantité d’informations et de données personnelles circulent, il serait imprudent de sous-estimer les risques liés à la cyber sécurité. Consultez au plus tôt vos correspondants sécurité dans votre projet. Qui va piano va sano …

5. LXP, LMS, qu’est-ce que cela veut vraiment dire ?

Quelle est la différence entre une LXP et une LMS ? La LXP d’après la définition de Josh Bersin est une plateforme qui propose une variété de « capabilités » et non pas uniquement des produits. A part la nouvelle dénomination, je n’ai personnellement pas très bien compris la différence formelle. Beaucoup de LMS « traditionnelles » proposent des fonctionnalités qui peuvent être personnalisées et permettent de créer des expériences d’apprentissages variées qui intègre des aspects sociaux tel que les votes ou le partage par les pairs. Lors de la recherche et de la sélection de votre outil, il est important de ne pas s’arrêter aux dénominations et d’identifier les fonctionnalités avant tout.

6. Le choix du prestataire

Vous avez fait le tour de vos besoins et vous avez réalisé votre cahier des charges ? Vient le choix du prestataire. Il y a des questions essentielles à se poser : Comment votre future partenaire va-t-il garantir l’évolutivité et la flexibilité de sa solution ? Quel futur voit-il pour l’évolution de ses services ? Quels sont les retours et les histoires d’autres clients ayant bénéficier de leur offre ? Il y a encore beaucoup à dire sur le sujet et beaucoup à apprendre des retours d’expériences.

J’espère que ce billet vous aura aidé dans la réflexion et ce choix difficile pour que vous puissiez sélectionner la solution dont vous avez réellement besoin. Celle qui sera au service tout d’abord des apprenants, qui leur permettra de continuer à apprendre et gagner en compétences.

Pour finir, je partage avec vous cette expression utilisée par Sally Anne Moore sur le salon Learning technologies. Je trouve bien drôle mais finalement très juste « Si vous avez un marteau dans la main, tout ce que l’on a autour de nous commence à ressembler à un clou ! » 🙂

Belle semaine à tous,

Lina.

Merci à toutes les personnes qui m’ont inspiré avec leurs interrogations à la rédaction de cet article et qui se posent les bonnes questions nécessaires pour se transformer !

Pour aller plus loin

Au sujet des plateformes

https://joshbersin.com/2018/09/the-learning-experience-platform-lxp-market-expands/

Au sujet de la cyber securité

https://medium.com/@AxelUnlimited/enough-is-enough-2018-has-seen-600-too-many-data-breaches-9e3e5cd8ff78

https://www.agcs.allianz.com/nl-be/insights/expert-risk-articles/arb-2019-top-business-risks-4-10/http://internetactu.blog.lemonde.fr/2019/02/02/les-3-niveaux-de-nos-identites-en-ligne/

Written by Lina · Categorized: Non classé

Jan 13 2019

My tablet is beautiful

10% de motivation supplémentaire pour les élèves utilisant les tablettes en classe. Mais les apprentissages stagnent, car les supports les plus attrayants ne sont pas forcément les plus efficaces, ce qu’on appelle le « paradoxe de préférence-performance ».

(Source Cerveau et Psycho- N81-Oct 2016)

Written by Lina · Categorized: Non classé

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